摘要：Abstract Ari Folman’s documentary film Waltz with Bashir opens up entry points to an ungraspable arena of traumatic memories, tracing the site of the director’s own lack of memory about the 1982 Lebanon war. This article demonstrates the ways in which the film embodies particular spaces for alternative witnessing, focusing on three categories of spaces built in this film: the actual spaces one can picture as simulated geography or architecture; the indeterminate spaces presented as hallucinations; and the inaccessible space of the other. This analysis also goes on to consider how the film mobilizes itself before the displacement of unaccountable antinarrative. Résumé Le film documentaire d’Ari Folman, Valse avec Bashir, ouvre un champ presque insaisissable de souvenirs traumatiques, qui pointent vers les souvenirs eux-mêmes incomplets du réalisateur relatifs à la guerre du Liban. L’article analyse comment le film donne une place à des formes de témoignage alternatifs, à travers une lecture de trois types d’espace construits par ce film: les espaces qui simulent une certaine géographie ou architecture; les espaces indéterminés présentés comme des hallucinations; et l’espace inaccessible de l’autre. L’analyse s’intéresse aussi à la manière dont le film s’affiche luimême face au problème d’un antirécit impossible à convertir en texte.
关键词：animated documentary; filmic topography; spatio-visual witnessing; holes of memory; limits of representation; anti-architectural spaces
