摘要：Abstract The contemporary university has grown to be a fairly complex institution sustained by many competing interests, not all of which are directly concerned with promoting the work of study, broadly conceived. My concern in the following is with the quality of the subjective experience of studying that universities are still meant to provide. By subjective experience I mean the mindful engagement that is study, and my focus is on such study as it is found in undergraduate programs leading to undergraduate degrees. Given the threat of a growing indifference between professors and students concerning their shared engagement in courses offered at the undergraduate level (offered because of professors’ institutional obligations, taken because of students’ degree requirements), I reconsider the subjective investment of mindful engagement that these courses nevertheless represent. Résumé L’université d’aujourd’hui est devenue une institution très complexe, où rivalisent plusieurs intérêts dont l’objectif premier n’est pas toujours d’encourager le travail de l’étudiant entendu au sens large. Le texte qui suit s’inquiète de la qualité de l’expérience subjective des études que les universités sont encore supposées procurer. Par « expérience subjective » j’entends l’ engagement de l’esprit , qui est ce en quoi consistent les études, et je m’intéresse particulièrement ici aux études telles qu’entreprises dans des programmes de premier cycle menant à la diplomation. Étudiants et professeurs affichent de plus en plus une indifférence envers l’engagement qu’ils doivent avoir les uns envers les autres dans les cours de premier cycle (offerts par les professeurs en raison d’obligations institutionnelles, et entrepris par les étudiants en raison des exigences du programme). Devant cette menace, je réexamine l’investissement subjectif que ces cours requièrent néanmoins en tant que lieux d’un engagement de l’esprit.
其他摘要：Abstract The contemporary university has grown to be a fairly complex institution sustained by many competing interests, not all of which are directly concerned with promoting the work of study, broadly conceived. My concern in the following is with the quality of the subjective experience of studying that universities are still meant to provide. By subjective experience I mean the mindful engagement that is study, and my focus is on such study as it is found in undergraduate programs leading to undergraduate degrees. Given the threat of a growing indifference between professors and students concerning their shared engagement in courses offered at the undergraduate level (offered because of professors’ institutional obligations, taken because of students’ degree requirements), I reconsider the subjective investment of mindful engagement that these courses nevertheless represent. Résumé L’université d’aujourd’hui est devenue une institution très complexe, où rivalisent plusieurs intérêts dont l’objectif premier n’est pas toujours d’encourager le travail de l’étudiant entendu au sens large. Le texte qui suit s’inquiète de la qualité de l’expérience subjective des études que les universités sont encore supposées procurer. Par « expérience subjective » j’entends l’ engagement de l’esprit , qui est ce en quoi consistent les études, et je m’intéresse particulièrement ici aux études telles qu’entreprises dans des programmes de premier cycle menant à la diplomation. Étudiants et professeurs affichent de plus en plus une indifférence envers l’engagement qu’ils doivent avoir les uns envers les autres dans les cours de premier cycle (offerts par les professeurs en raison d’obligations institutionnelles, et entrepris par les étudiants en raison des exigences du programme). Devant cette menace, je réexamine l’investissement subjectif que ces cours requièrent néanmoins en tant que lieux d’un engagement de l’esprit.
