摘要:AbstractObjectiveAn aggregate annoyance construct has been developed to account for annoyance that ranges fromnot at all annoyedtoextremely annoyed, toward multiple wind turbine features. The practical value associated with aggregate annoyance would be strengthened if it was related to health. The objective of the current paper was to assess the association between aggregate annoyance and multiple measures of health.MethodsThe analysis was based on data originally collected as part of Health Canada’s Community Noise and Health Study (CNHS). One adult participant per dwelling (18–79 years), randomly selected from Ontario (ON) (n = 1011) and Prince Edward Island (PEI) (n = 227), completed an in-person questionnaire.ResultsThe average aggregate annoyance score for participants who indicated they had a health condition (e.g., chronic pain, Pittsburgh Sleep Quality Index (PSQI) > 5, tinnitus, migraines/headaches, dizziness, highly sensitive to noise, and reported a high sleep disturbance) ranged from 2.53 to 3.72; the mean score for those who did not report these same conditions ranged between 0.96 and 1.41. Household complaints about wind turbine noise had the highest average aggregate annoyance (8.02), compared to an average of 1.39 among those who did not complain.ConclusionA mean aggregate annoyance score that could reliably distinguish participants who self-report health effects (or noise complaints) from those who do not could be one of several factors considered by jurisdictions responsible for decisions regarding wind turbine developments. However, the threshold value for acceptable changes and/or levels in aggregate annoyance has not yet been established and could be the focus of future research efforts.
其他摘要:FrRésuméObjectifUn indice de gêne global, depas du tout gênantàextrêmement gênant, a été élaboré pour tenir compte de la gêne causée par de nombreuses caractéristiques des éoliennes. La valeur pratique associée à la gêne globale serait renforcée si celle-ci était liée à la santé. L’objectif était d’évaluer l’association entre la gêne globale et divers indicateurs de santé.MéthodeCette analyse est fondée sur des données recueillies à l’origine dans le cadre de l’Étude sur le bruit ambiant et la santé (ÉBAS) de Santé Canada. Des participants adultes (18 à 79 ans), un par ménage, sélectionnés au hasard en Ontario (n = 1011) et à l’Île-du-Prince-Édouard (n = 227), ont rempli un questionnaire en personne.RésultatsEn moyenne, l’indice de gêne global des participants ayant fait état d’une affection de santé (p. ex. douleur chronique, indice de qualité du sommeil de Pittsburgh [PSQI] >5, acouphène, migraines/maux de tête, étourdissements, forte sensibilité au bruit et perturbation élevée du sommeil) se situait entre 2,53 et 3,72; l’indice moyen des participants n’ayant pas déclaré ces mêmes affections se situait entre 0,96 et 1,41. Les plaintes des ménages au sujet du bruit des éoliennes ont été associées en moyenne à l’indice de gêne global le plus élevé, soit 8,02, contre 1,39 en moyenne chez les participants qui ne se plaignaient pas du bruit des éoliennes.ConclusionUn indice de gêne global moyen permettant de façon fiable de distinguer les participants qui font état d’effets sur leur santé (ou qui se plaignent du bruit) de ceux qui ne déclarent pas de tels effets pourrait être l’un de plusieurs facteurs à considérer par les administrations qui prennent des décisions sur le développement éolien. Toutefois, le seuil de gêne globale acceptable (son niveau et/ou son changement) reste à définir et pourrait faire l’objet d’études futures.