摘要:Abstract Inspired by Ontario’s burgeoning interest in postsecondary student mobility, this article examines how elements of Europe’s Bologna Process can help bridge the college–university divide of Ontario’s postsecondary system. Via discourse analysis of relevant qualification frameworks and program standards, it argues that the current system disadvantages students by failing to recognize that the Ontario advanced (three-year) diploma in Architectural Technology is equivalent to a baccalaureate-level qualification in the international context. The article concludes by discussing the larger significance of these findings in terms of ongoing debates about the “changing places” (HESA, 2012) of degrees in the Canadian higher education system. Résumé Inspirés par l’intérêt naissant de l’Ontario envers la mobilité des étudiants postsecondaires, les auteurs du présent article examinent comment les éléments du processus de Bologne en Europe peuvent contribuer à combler le fossé collège-université du système d’enseignement postsecondaire de l’Ontario. Grâce à l’analyse du discours portant sur des normes de programme et des structures de qualification pertinents, l’article fait valoir que le système actuel désavantage les étudiants du fait qu’il omet de reconnaître que le diplôme ontarien de niveau avancé (trois ans) en technologie de l’architecture équivaut à une qualification d’un niveau correspondant au baccalauréat dans un contexte international. Enfin, l’article conclut en abordant l’importance plus grande de ces constatations en termes de débats ayant cours à propos des « autres lieux » (HESA, 2012) des diplômes ou grades du système d’enseignement supérieur du Canada.
其他摘要:Abstract Inspired by Ontario’s burgeoning interest in postsecondary student mobility, this article examines how elements of Europe’s Bologna Process can help bridge the college–university divide of Ontario’s postsecondary system. Via discourse analysis of relevant qualification frameworks and program standards, it argues that the current system disadvantages students by failing to recognize that the Ontario advanced (three-year) diploma in Architectural Technology is equivalent to a baccalaureate-level qualification in the international context. The article concludes by discussing the larger significance of these findings in terms of ongoing debates about the “changing places” (HESA, 2012) of degrees in the Canadian higher education system. Résumé Inspirés par l’intérêt naissant de l’Ontario envers la mobilité des étudiants postsecondaires, les auteurs du présent article examinent comment les éléments du processus de Bologne en Europe peuvent contribuer à combler le fossé collège-université du système d’enseignement postsecondaire de l’Ontario. Grâce à l’analyse du discours portant sur des normes de programme et des structures de qualification pertinents, l’article fait valoir que le système actuel désavantage les étudiants du fait qu’il omet de reconnaître que le diplôme ontarien de niveau avancé (trois ans) en technologie de l’architecture équivaut à une qualification d’un niveau correspondant au baccalauréat dans un contexte international. Enfin, l’article conclut en abordant l’importance plus grande de ces constatations en termes de débats ayant cours à propos des « autres lieux » (HESA, 2012) des diplômes ou grades du système d’enseignement supérieur du Canada.