摘要：Abstract First-year seminars (FYS) have become increasingly prevalent in North American postsecondary institutions. The popularity of such initiatives owes much to the belief that providing unprepared students general life and academic skills can bolster engagement and thereby improve retention. In this paper we argue that, despite their good intentions, many FYS actually perpetuate the kind of disengagement they were designed to alleviate due to their reliance on a narrow, instrumental view of education. To demonstrate, we briefly outline the history and curricula of the FYS movement to draw attention to its dependence on marketplace ideals, rationales, and strategies. We demonstrate some of the ways this vision of education impoverishes the university experience and suggest that, in order to be robust, FYS must focus first and foremost on cultivating rich understandings of the broader purposes of higher education and its relation to the good life, both for and beyond one’s own fulfillment. Résumé Les séminaires de première année sont devenus de plus en plus répandus dans les énstitutions d post-secondaires en Amérique du Nord. La popularité de telles initiatives doit beaucoup à l’idée que le fait de fournir des aptitudes générales et académiques aux étudiants non préparés peut renforcer leur engagement et ainsi améliorer leur taux de rétention. Dans cet article, nous soutenons que, malgré leurs bonnes intentions, beaucoup de sention. Dans cet aère année perpétuent le même genre de désengagement qu’ils essaient d’atténuer en raison de leur dépendance envers une vision instrumentale mais étroite de l’éducation. Pour le démontrer, nous décrivons brièvement l’histoire et les programmes de ce mouvement qui vise à attirer l’attention sur sa dépendance à l’égard des idéaux de marché, des justifications et des stratégies. Nous démontrons quelques-unes des façons par lesquelles cette vision de l’éducation appauvrit l’expérience universitaire et nous suggérons que pour être robustes, les séminaires de première année doivent d’abord se concentrer à cultiver la richesse de compréhension des objectifs plus larges de l’enseignement supérieur et de sa relation au bien-vivre, pour la r ur n-viv personnelle des étudiants et au-delà.
其他摘要：Abstract First-year seminars (FYS) have become increasingly prevalent in North American postsecondary institutions. The popularity of such initiatives owes much to the belief that providing unprepared students general life and academic skills can bolster engagement and thereby improve retention. In this paper we argue that, despite their good intentions, many FYS actually perpetuate the kind of disengagement they were designed to alleviate due to their reliance on a narrow, instrumental view of education. To demonstrate, we briefly outline the history and curricula of the FYS movement to draw attention to its dependence on marketplace ideals, rationales, and strategies. We demonstrate some of the ways this vision of education impoverishes the university experience and suggest that, in order to be robust, FYS must focus first and foremost on cultivating rich understandings of the broader purposes of higher education and its relation to the good life, both for and beyond one’s own fulfillment. Résumé Les séminaires de première année sont devenus de plus en plus répandus dans les énstitutions d post-secondaires en Amérique du Nord. La popularité de telles initiatives doit beaucoup à l’idée que le fait de fournir des aptitudes générales et académiques aux étudiants non préparés peut renforcer leur engagement et ainsi améliorer leur taux de rétention. Dans cet article, nous soutenons que, malgré leurs bonnes intentions, beaucoup de sention. Dans cet aère année perpétuent le même genre de désengagement qu’ils essaient d’atténuer en raison de leur dépendance envers une vision instrumentale mais étroite de l’éducation. Pour le démontrer, nous décrivons brièvement l’histoire et les programmes de ce mouvement qui vise à attirer l’attention sur sa dépendance à l’égard des idéaux de marché, des justifications et des stratégies. Nous démontrons quelques-unes des façons par lesquelles cette vision de l’éducation appauvrit l’expérience universitaire et nous suggérons que pour être robustes, les séminaires de première année doivent d’abord se concentrer à cultiver la richesse de compréhension des objectifs plus larges de l’enseignement supérieur et de sa relation au bien-vivre, pour la r ur n-viv personnelle des étudiants et au-delà.
