摘要:Dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, le Savile Club, qui s’enorgueillissait d’être plus convivial et moins guindé que la plupart des autres clubs de gentlemen de Londres, accueillait des jeunes gens « prometteurs » en début de carrière. L’un d’eux, Robert Louis Stevenson, profita largement des opportunités sociales du club, appréciant tout particulièrement de côtoyer d’autres artistes bohème comme lui. Mais Stevenson était aussi conscient des limites de ce club, de ses complaisances et de ses hypocrisies. Dans sa nouvelle intitulée « The Suicide Club », Stevenson dépeint un club comparable au Savile pour en critiquer l’artificialité et satiriser la respectabilité de surface de ses membres, leurs fausses prétentions et leur évitement d’un véritable engagement dans la bataille de la vie.
其他摘要:The Savile Club prided itself in being more relaxed and friendly than most other gentlemen’s clubs in London in the second half of the nineteenth century, welcoming ‘men of promise’ at the start of their careers. Robert Louis Stevenson, one of these young men of promise, relished the social opportunities of the club, especially the company of fellow bohemians but was also aware of the limitations of the club, and its potential for complacency and false posturing. His novella ‘The Suicide Club’, depicting a club similar to the Savile, satirises the artificiality of the club, and of all such clubs, and of the superficial respectability of the members’ bohemian pretensions, which shelter the ‘gentlemen’ from a genuine and fulfilling engagement in the battlefield of life.