摘要:En 2006, le registre national du cancer iranien signalait qu'une petite province située dans le sud du pays, Kohgiluyeh et Boyer-Ahmad, avait une faible incidence pour presque tous les types de cancer. Dans une étude de cohorte populationnelle, les données concernant 660 cas de cancer dans la province de Kohgiluyeh et Boyer-Ahmad ont été analysées après nouvelle vérification des codes CIM et élimination des doublons. Entre 2007 et 2009, l'incidence moyenne annuelle pour tous les cancers a significativement augmenté, de 53,0 % chez les hommes et de 115,1 % chez les femmes. En revanche, le nombre de cancers de la prostate, de la thyroïde, de la vessie et des tissus mous a diminué au cours de la période de l'étude. En dépit de l'augmentation enregistrée, les taux d'incidence pour les différents sites de cancer (à l'exception du cancer de la peau) étaient significativement inférieurs aux taux nationaux correspondants en 2006. Les résultats semblent indiquer des améliorations du diagnostic du cancer et de son enregistrement dans la province, même si de véritables changements dans l'incidence du cancer sur la période en question ne peuvent être exclus.
其他摘要:In 2006 the Iranian national cancer registry reported that Kohgiluyeh and Boyer-Ahmad, a small province located in the southern part of the country, had a low incidence rate of almost all types of cancer. In a population-based cohort study, data on 660 cases of cancer in Kohgiluyeh and Boyer-Ahmad province were analysed after ICD codes had been rechecked and duplicates removed. Over the period 2007–2009 the annual average incidence rate of all cancers rose significantly by 53.0% and 115.1% in men and women respectively. Cancers of the prostate, thyroid, bladder and soft tissues decreased over the study period. Despite the recorded rise, the incidence rates for different sites of cancer (except for skin cancer) were significantly lower compared with their corresponding national rates for 2006. The results point to improvements in the cancer diagnosis and registry in the province, although real changes in cancer incidence over the period cannot be ruled out.