摘要:Cet article fait appel à une différence analytique entre trois modes d’appartenance sociale pour expliquer l’expérience ambiguë de la réinstallation vécue par les réfugiés qui obtiennent un TPV (« visa de protection temporaire ») en Australie. Les conclusions de deux études qualitatives indiquent que la dominance d’un discours publique représentant les demandeurs d’asile comme des « clandestins », bloque leur sens d’appartenance au niveau national. Au niveau local cependant, l’appartenance a été facilitée à travers des réseaux de relations à l’intérieur des communautés et l’établissement d’associations basées sur les catégories culturelles ou légales. Ce qui importe encore plus c’est que ces succès ont fourni une base à partir de laquelle il est maintenant possible de contester le manque de reconnaissance confrontant les réfugiés TPV dans l’environnement crée par un discours publique nationaliste.
其他摘要:This paper utilizes an analytical distinction between three modes of social belonging to explain the ambiguous resettlement experiences of refugees granted a temporary protection visa (TPV) in Australia. Findings from two qualitative studies indicate that the dominance of a public discourse that depicts asylum seekers as “illegals” inhibits their sense of belonging at the national level. Yet belonging has been facilitated locally through relational networks within communities and the establishment of associations based on cultural or legal categories. Importantly, these successes have provided a basis from which to contest the continued lack of recognition faced by TPV refugees within a nationalistic public discourse.