摘要:Le 16 septembre dernier l’exposition « Objets blessés, la réparation en Afrique » fermait ses portes au Musée du Quai Branly. Saluée unanimement par la critique, elle laisse à ceux qui l’ont visitée -ou au contraire ont manqué cette chance-, le gage d’un ouvrage intelligent et abondamment illustré. 2Dans une préface intitulée Vie et survie des Objets, le commissaire de l’exposition, Gaetano Speranza, s’interroge sur un paradoxe: en dépit de l’omniprésence de la réparation dans le monde africain, moins d’un pourcent des collections ethnographiques, en moyenne, comporte des objets « réparés ». Pourquoi ?.