摘要:Partant de la nécessité de prendre en compte des dimensions autres que la pauvreté afin d'expliquer l'extraordinaire croissance de la criminalité violente chez les jeunes hommes au Brésil après les années 1970, on considère dans cet article que la pauvreté ne semble pas être le déterminant (économique) du crime selon la démarche déterministe de la sociologie objectiviste selon laquelle la causalité a une seule direction, excluant ainsi la subjectivité et l'indétermination. Suivant le modèle de la complexité, on a repris le grand débat sur la montée de la criminalité et de la violence dans la ville de Rio de Janeiro, avec l'aide de nouvelles théories concernant ce débat, telles que la théorie de la formation subjective de l'ethos guerrier de Norbert Elias, du processus d'informalisation de Cas Wouters, ainsi que des théories écologiques non centrées sur l'idée d'absence d'organisation sociale, mais qui recherchent les faiblesses et inconsistances des processus de socialisation des jeunes dans la famille et leur entourage, compte tenu des différentes formes de voisinage, des organisations gouvernementales et non-gouvernementales existantes ainsi que des services publics destinés à éduquer et servir les jeunes.
其他摘要:There is a need to include dimensions other than poverty to explain the alarming increase in violent crime among young Brazilian males beginning in the late 1970s, the author highlights that poverty should not be taken as the (economic) determination of crime in a determinist approach by objectivist sociology that considers causality in a single direction, excluding subjectivity and indetermination. Working with the model of complexity, she reconstructs part of the larger debate on the rise in crime and violence in the city of Rio de Janeiro. She points to new theories that could shed light on the hottest issues in this debate, such as the theory of subjective formation in the warrior ethos (Norbert Elias), informalization (Cas Wouters), and the ecological theories focusing more on the idea of social disorganization, but seeking the vulnerabilities and inconsistencies in the socialization processes for youth in the family and neighborhoods, taking into account the various forms of neighborhood association, the governmental and nongovernmental organizations working in these neighborhoods, and the supply of public services to educate and serve young people.